lundi 21 octobre 2013

MRC de Manicouagan

Région de la Côte-Nord

Manicouagan est une municipalité régionale de comté (MRC) du Québec, située dans la région administrative de la Côte-Nord. Son nom vient de la rivière Manicouagan. 

Manicouagan, c’est le début de la Côte-Nord. Vous parcourez la route 138 que l’on appelle aussi La Route des Baleines, le long du fleuve Saint-Laurent en direction est. Quelque 300 kilomètres de côte où le tourisme occupe une place de choix et aussi voir le site des belles pourvoiries de la Côte-Nord.

La municipalité régionale de comté de Manicouagan compte huit municipalités locales, soit une ville, cinq municipalités de village, une municipalité de paroisse et une municipalité sans désignation. La réserve indienne de Pessamit se trouve sur son territoire, mais elle n'en fait pas juridiquement partie.

La Péninsule de Manicouagan c’est être en contact avec une nature généreuse, avec une mer invitante bordée par des plages interminables, où le rythme des marées vous fera décrocher de votre quotidien. À Ragueneau, un bureau d’accueil touristique offrant une vue imprenable sur le fleuve. Table de pique-nique, eau potable et station de vidange pour les VR. Haltes de détente par excellence!

Plein ciel et vue de la Manicouagan
Diaporama dynamique et musical de photographies aériennes de la région de Baie-Comeau, Province de Québec par René Méthot (photographe) et Carl Tremblay (pilote). René utilise un appareil photo Canon Rebel XT et Carl pilote l'avion ultra-léger Zenair CH-701 sur flotteurs. Nous espérons que vous aimerez découvrir, vu des airs, notre beau coin de pays qu'est la Côte-Nord ... à Plein ciel sur la Manicouagan.

Notre premier diaporama de photos aériennes prisent en 2007 et 2008 avec, entre autres, le premier bateau de croisière ayant accosté au quai de Baie-Comeau: le Black Watch. La plupart des photos ont été prises dans la région de Baie-Comeau mais quelques unes sont des alentours de Matane (les éoliennes, le barrage, ).

De la Motoneige et Bienvenue à la Manic
Une promenade en motoneige dans la Manicouagan et Baie-Comeau avec Luc Imbeault.

Durant l'été, revivez le chantier mythique des années 1960 en visitant gratuitement la Manic. Fierté garantie !

Ragueneau et Chute-aux-Outardes
Vidéo de Pessamit et on voie Mme Victoria Riverin nous parle de sa place ou elle a toujours vécu.

Vidéo nous montrant Chute-aux-Outardes et Manon Finn nous rencontre son attachement à sa place et son environnement.

Pointe Lebel et l'argile marine
Vidéo qui nous montre Mr Rock Vézina qui nous parle le pourquoi il est venu s'installé à Pointe Lebel.

Argile Eau Mer, sur la Côte-Nord du Québec, permet de profiter d'une plage spéciale qui présente un gisement d'argile exceptionnel et de découvrir toutes les espèces végétales et médicinales qu'il contient.

Chez Argile Eau Mer à Pointe aux Outardes
Venez profiter d'une plage spéciale qui présente un gisement d'argile exceptionnel et découvrez toutes les espèces végétales et médicinales qu'il contient. Deux types d'expériences sont offerts. La première, de juin à septembre, consiste à visiter une plage et à prendre un bain de boue marine. Vous aurez l'occasion de couvrir tout votre corps d'argile de la Manicouagan et d'en ressentir les bienfaits dès votre rinçage à l'eau de mer.

Ville de Baie-Comeau
Baie-Comeau est une ville du Québec, située dans la municipalité régionale de comté de Manicouagan et dans la région administrative de la Côte-Nord. Elle est située à 400 km à au nord-est de la ville de Québec.La ville de Baie-Comeau compte 22 113 habitants et l'agglomération englobant les villages voisins atteint 28 789 habitants, en baisse de 3 % par rapport à 2006.

Un peu d'Histoire sur Baie-Comeau

Les premiers balbutiements est la présence autochtone innue et montagnaise sur le territoire avoisinant l'actuel Baie-Comeau remonte à près de 6 000 ans. Territoire forestier immense, la Manicouagan est une région riche par sa faune diversifiée, ce qui permet aux amérindiens de prospérer grâce à la chasse des loups-marins, ours, castors, orignaux et plus au nord, de caribous. De plus, la rivière Manicouagan offre un bassin de pêche important et la rivière aux Anglais en est une à saumon.

Aux alentours de l'an 1000, les explorateurs vikings s'intéressent à la Côte-Nord et à la région de la rivière Manicouagan. Des traces d'installations temporaires sont découvertes près de Baie-Comeau.


En 1535, Jacques Cartier note l'existence de la rivière Manicouagan mais qualifie le pays de dangereux, les bancs de sable créés par cette rivière et la rivière aux Outardes étant peu favorables à la navigation. Les seuls colons intéressés par cette région sont les contrebandiers de fourrures et les missionnaires, en quête d'évangélisation des amérindiens. Il faut attendre le xixe siècle pour que les premiers établissement permanents de la Manicouagan (Godbout, à 50 km à l'Est de Baie-Comeau et Pointe-aux-Outardes, à 20 km à l'ouest de Baie-Comeau s'installent.


 Le 12 avril 1936, le Jean-Brillant mouille l'ancre dans l'anse à Comeau. Commence alors la construction de l'usine de pâte et papier de la Quebec North Shore Company. Le quai est reconstruit à neuf et la structure primitive actuelle est complétée dès cette année. Ville de compagnie, ce qui sera Baie-Comeau est strictement réservé aux travailleurs. Des bâtiments primitifs et temporaires sont construits près du site de construction de l'usine, ce qui donnera naissance à la future artère commerciale La Salle, connue actuellement sous l'appellation de Place LaSalle. Rapidement, hôpital, salon de barbier, cordonnerie, cafétéria et baraquements émergent. L'usine et l'entrepôt prennent également forme. Le 25 décembre 1936, le premier rouleau de papier est produit à l'usine de la QNS.


La construction fut à l'honneur en 1936. La situation diffère en 1937 qui voit la véritable naissance et fondation de Baie-Comeau dont les lettres patentes sont délivrées le 20 mai 1937. Les premières véritables maisons sont construites ainsi que l'édifice Arcade, premier édifice commercial de la ville. À la fin de cette année-là, plusieurs édifices sont déjà construits sur l'avenue La Salle et plusieurs maisons forment les avenues Champlain, Laval, Hébert, Frontenac, Wolfe, Cartier, Dollard et Montcalm. En 1938, l'église Saint Andrew & Saint George et le presbytère anglican ainsi que l'hôpital Boisvert et le Manoir Comeau sont construits. La vie religieuse est assurée par l'arrivée des Sœurs Sainte-Croix au début des années 1940.


Tout au long des années 1940, Baie-Comeau prendra de l'expansion. La Seconde Guerre mondiale aura peu d'impact sur la vie ouvrière de Baie-Comeau. Toutefois, en 1943, on crée la Compagnie E du 2e bataillon des Fusiliers du Saint-Laurent à Baie-Comeau. Des explosions sont parfois audibles au large de Baie-Comeau et certains navires d'escorte disparaîtront lors de ce qui sera appelée la «Bataille du Saint-Laurent». En avril 1943, Baie-Comeau versera 305 000 $ à la campagne des bons de la Victoire. Outre la guerre, un gigantesque incendie de forêt menace Baie-Comeau en 1941. Les craintes sont grandes, mais le 25 juin, l'incendie change de direction. En septembre 1943, la ville est reliée par voie routière au reste de la province. Les cloches de la nouvelle église Sainte-Amélie (catholique) sonnent la nouvelle de la fin de la guerre et l'arrivée du nouvel évêque du nouveau diocèse du Golfe du Saint-Laurent, Monseigneur Napoléon-Alexandre Labrie.


Naissance d'une ville jumelle 

En 1946, Mgr Labrie, père eudiste, cherche alors l'endroit idéal pour construire un hôpital et un séminaire et un endroit où installer son évêché. Les autorités municipales et de la QNS lui proposent le site du Mont Sec, mais Mgr Labrie choisit plutôt de s'installer près des ruines du Vieux Poste, à la rivière Amédée. Les autorités lui laissent la liberté de s'y installer, mais en lui spécifiant qu'il devra, avec ceux qui le suivront, assurer d'eux-mêmes le développement de cette région.

C'est ainsi qu'en 1949, Mgr Labrie fonde la ville de Hauterive à quelques kilomètres à l'ouest
de Baie-Comeau. Cette ville prendra un visage plus commercial que Baie-Comeau. L'Hôtel-Dieu de Hauterive devient le Centre hospitalier régional de Baie-Comeau, le Séminaire de Hauterive (aujourd'hui le Cégep de Baie-Comeau) voit donc le jour, suivi quelques années plus tard de la cathédrale Saint-Jean-Eudes, le tout à proximité du boulevard Joliet.


En 1951, on amorce la construction du barrage McCormick sur la rivière Manicouagan, près de l'embouchure du fleuve Saint-Laurent. Ce barrage aux capacités beaucoup plus grandes que nécessaires démontrera les capacités énergétiques de la région.


Maintenant pour voir histoire du 75e de Baie-Comeau présenté par Quebec TV Cogeco Câble en 8 épisode cliquer sur ses liens ci-bas.


1- Capsule historique sur Baie-Comeau                                  2- La construction de l'usine de pâte et papier                      3- La naissance d'une ville                                                           4- L'église Ste-Amélie                                                              5- Les débuts de la vie culturelle                                               6- Les débuts de la vie sportive                                              7- Le boom économique des années 50                                  8- La fondation de Hauterive aujourd'hui Baie-Comeau

75e de Baie-Comeau et la naissance d'une ville
Une capsule historique sur Baie-Comeau.

Alain Aubé, fils d'ouvrier de Baie-Comeau, nous raconte les péripéties de la création de la municipalité entre 1923 et 1938 par la Ontario Paper Company, sous la direction du colonel McCormick.

Ville de Baie-Comeau et sa Fontaine
Une vue de la ville de Baie-Comeau et de ses loisirs et activités.

La Fontaine de La place de la Réserve mondiale de la biosphère Manicouagan-Uapishka. Spectacle permanent conçu par Frédéric Lebrasseur à Place La Salle au centre-ville de Baie-Comeau.

Port de Baie-Comeau et Un grand territoire
Vue du port de Baie-Comeau et d'une partie de la ville en drome. 

Baie-Comeau, située en pleine Réserve mondiale de la biosphère Manicouagan-Uapishka, au pays de l'immensité, vous offre une nature de démesure et un riche patrimoine historique, industriel, religieux et culturel. 

Découvrez les plaisirs de la chasse et de la pêche et nos imposants barrages. Sillonnez nos eaux limpides, à la rencontre de mammifères marins. Marchez nos kilomètres de sentiers pédestres en bord de mer. Vivez le Jardin des glaciers, un match du Drakkar, un spectacle au Centre des arts, l'église Sainte-Amélie ou nos nombreux événements estivaux tels que le Symposium de peinture, le Festival Eau Grand Air, le Festival de la bière ou la Troupe Chaud Bizzz. 

Et profitez-en pour visiter nos municipalités environnantes, Franquelin, Pointe-aux-Outardes, Pointe-Lebel, Ragueneau, Godbout, Chute-aux-Outardes et Baie-Trinité, qui regorgent d'attraits touristiques qui valent le détour! 

Baie-Comeau, c'est avant tout une population chaleureuse et accueillante qui vous attend! 


Baie-Comeau en drome et le centres d’interprétation
Baie-Comeau vu des airs filmé avec un drone: DJI Phantom 2, Vision+.

Une vidéo pour vous faire tout découvrir sur l’électricité et notre patrimoine, quatorze centrales et centres d’interprétation aux quatre coins du Québec vous ouvrent leurs portes. Au programme : des paysages magnifiques, des ouvrages grandioses qui font notre fierté et des découvertes fascinantes.

Baie Comeau à la Manic et L'Électrium
Baie Comeau à la Manic est une partie du Rallye aérien International. Au Ciel ! Ô Ciel ! 

Le centre d'interprétation de l'électricité d'Hydro-Québec propose des visites gratuites en compagnie de guides chevronnés et dynamiques qui vous feront mieux comprendre cette forme d'énergie.

La Manic 5 et Mythes, réalités sur l'hydroélectricité
La centrale Manic-5, la centrale Manic-5-PA et le barrage Daniel-Johnson forment un aménagement hydroélectrique d'Hydro-Québec situé sur la Côte-Nord du Québec, dans la MRC de Manicouagan, à 214 km au nord de la ville de Baie-Comeau.

La centrale Manic-5-PA, construite par Hydro-Québec dans les années 1980 sur l'autre rive de la Manicouagan. Elle ajoute une puissance de 1 064 MW aux 1 596 MW de la centrale originale. Les quatre turbines ont été mises en service en 1990.

La rivière Manicouagan prend sa source dans ce qui est l'un des plus grands cratères météoritiques du monde. À l'origine, seule la rivière au bas de la vallée permettait d'en apercevoir les contours, vu des airs. Avec le remplissage de la vallée derrière le barrage, le réservoir Manicouagan, aussi appelé l'œil du Québec, est maintenant parfaitement visible de l'espace. On retrouve en son centre l'île René-Levasseur. Le réservoir a une surface de 1 973 km² et un volume de 135 millions de mètres cubes.

Vous avez des questions sur l'hydroélectricité ou sur la rentabilité du projet de la Romaine et des autres énergies renouvelables depuis le visionnement du film « Chercher le courant » avec Roy Dupuis ?

Plusieurs questions ont été soulevées dans ce film, notamment au sujet de l'engagement d'Hydro-Québec envers l'efficacité énergétique et les autres sources d'énergie renouvelables comme l'éolien, la géothermie et la biomasse. Saviez-vous que l'hydroélectricité émet 4 fois moins de GES que l'énergie solaire ? Visionnez la vidéo et consultez hydro source d'avenir pour découvrir les mythes et les réalités concernant les sujets abordés dans le film.

Vidéo de l'Entreprise d'Alcoa
La vidéo est en anglais mais peut-être traduite. Ensemble, les alumineries d’Alcoa au Canada ont une capacité de production annuelle de près d’un million de tonnes métriques de plaque, principalement destinée aux laminoirs pour la fabrication de feuilles pour emballages et carrosseries; de lingot-T, destinés aux fonderies pour la fabrication de pièces moulées, notamment pour le secteur automobile; et de billette, destinée aux extrudeurs pour la fabrication de profilés pour l’industrie du transport et de la construction.

La rivière Rupert et la Traverse Baie-Comeau à Matane
Fruit de multiples consultations avec les parties prenantes, le projet Eastmain-1-A et Sarcelle. La Rupert comprenait, en plus de la construction des centrales de l'Eastmain-1-A et de la Sarcelle, la dérivation partielle de la rivière Rupert. Dans cette vidéo, France Brûlé, Chef de la protection de l'environnement à la Société d'énergie de la Baie-James, filiale d'Hydro-Québec, décrit les mesures prises dans le cadre de ce projet destinées à préserver l'environnement et à tenir compte des préoccupations des populations locales.

Dans la 2imes Vidéo à partir du musée de Tadoussac et en se dirigeant vers Baie-Comeau pour prendre le Traversée de Baie-Comeau à Matane sur la rive sud du St-Laurent en direction de la Gaspésie.

Le Jardin des Glaciers de Baie-Comeau 
Le Jardin des glaciers promet une rencontre UNIQUE avec la dernière glaciation, les changements climatiques et la thématique des peuples. Situé en bordure du fleuve Saint-Laurent et en plein cœur de la réserve mondiale de la biosphère Manicouagan-Uapishka, le Jardin des glaciers est un site intégré d'interprétation, d'exploration et d’éducation dont les valeurs reposent sur un contenu scientifique, dans un environnement inusité et exceptionnel. Deux expériences distinctes sont offertes : l'expérience multimédia et l'expérience nature.

Le Jardin des Glaciers activités et l'ensemble
Découvrir l'ensemble des activités offert au Jardin des Glaciers de Baie-Comeau.

Vidéo qui nous fait voir le Jardin des Glaciers à Baie-Comeau.

Franquelinest une municipalité du Québec au Canada situé dans la municipalité régionale de comté de Manicouagan et dans la région administrative de la Côte-Nord. Elle est nommée en l'honneur de géographe français Jean-Baptiste-Louis Franquelin. Le recensement de 2011 y dénombre 324 habitants. 

Le village, protégé du vent par les massifs des Laurentides, offre de beaux panoramas. Mais son attrait le plus remarquable est la reconstitution d’un village historique, habité autrefois par des bûcherons, qui vivaient isolés dans des camps de bois rond et des conditions d’hygiène difficiles. 


La municipalité de Franquelin voit le jour grâce à l’industrie forestière. Deux compagnies américaines s’établissent à Franquelin au début du XXe siècle, dont l’Ontario Paper Company, propriété du colonel Robert McCormick, qui deviendra plus tard la Quebec North Shore Paper Co. Le colonel avait besoin de papier pour approvisionner le Chicago Tribune et le New York Daily News dont il était également propriétaire. Ainsi, le canton de Franquelin est constitué en 1911.

Le premier avion à Franquelin et histoire d'une famille
Bob Rooney, historien amateur nous raconte le premier amerrissage d'un avion à Franquelin en 1922. L'avion s'est avéré être indispensable au développement de la Côte-Nord.Et aussi histoire d'une famille parti de Baie-Comeau pour demeurer à Franquelin. 


Le ramassage des clams 
Le ramassage des clams au village de Franquelin sur la Côte-Nord du Quebec.Près de Baie-Comeau.

Le  Village forestier d'Antan de Franquelin
Le Village forestier d'antan a été créé afin de témoigner du labeur de ces gens. Ce centre d’interprétation présente la vie en forêt et la coupe du bois à Franquelin entre 1916 et 1960.

Le Village forestier d'antan a pour mission de promouvoir la vie en forêt, de sensibiliser et de conserver le patrimoine forestier de la Côte-Nord et du Québec en s'appuyant sur l'histoire de l'exploitation forestière nord-côtière.

Les visiteurs peuvent voir les bâtiments aménagés à l’ancienne et découvrir un grand nombre d’objets d’époque utilisés sur les chantiers forestiers.


Le Village forestier d'Antan de Franquelin
Marc Bureau, alors directeur général du site, nous présente le Village forestier d'Antan à son ouverture en 1998. Le tout était diffusé à l'émission perspective, à TVA.

Godbout est une municipalité de village du Québec située dans la municipalité régionale de comté de Manicouagan et dans la région administrative de la Côte-Nord. Un traversier, le Camille-Marcoux, effectue la liaison avec Matane sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent, plusieurs fois par jour. 


Un peu d'histoire sur Godbout  

Elle aurait été nommée en l'honneur de Nicolas Godeboust (1634 -1674), qui fut navigateur, pilote puis défricheur. Il retourna sur l'île d'Orléans en 1670. Cette même année, le missionnaire Jésuite, Charles Albanel mentionna la rivière Godebout, où il rencontra des Amérindiens de Sept-Îles, les Oumamioueks. Jean-Baptiste-Louis Franquelin mentionne aussi la rivière "Godebou" sur sa carte en 1684. 

En 1684, un poste de traite fut établi sur la rivière, et les indigènes se regroupèrent autour du poste. Après 1720, le poste prit de l'importance pour la chasse aux phoques. Les phoques étaient chassés pour leur viande et pour l'huile qu'on mettait dans des barils et vendaient. 

Vers 1850, la région de Godbout, de Pointe-des-Monts jusqu'à Pointe-à-la-Croix avait vingt-cinq familles Innus comme chasseurs. Mais après 1860, la population canadienne se mit à croître. Au début, c'étaient des employés du poste de traite de la Compagnie Baie d'Hudson. Il y avait un certain Théodule Savard, et ensuite le fils d'un autre employé, Napoléon-Alexandre Comeau, qui déménagea au village au début de sa vingtaine. Comeau administra la pêche au saumon et protégea la pêche des voleurs. Les Innus perdirent accès à la rivière et à la pêche. Par conséquence, les Amérindiens partirent pour d'autres endroits, surtout la réserve Betsiamites. 

En 1877, le bureau de poste de Godbout ouvrit ses portes. Godbout ce développa rapidement lorsqu'une compagnie de pâtes et papiers, la Saint-Régis, commença la coupe du bois à l'intérieur des forêts. Ceci donna lieu à un quai, un barrage, et plusieurs chemins. Ensuite la construction d'un hôtel, de magasins, de maisons, une boulangerie, et une clinique médicale s'ensuivit. En 1926, la paroisse locale fut établie. En 1933, ont tenta de former une municipalité, mais cela fut accompli seulement en 1955. 

En 1971, le moulin Saint-Régis ferma, causant des pertes d'emplois et des problèmes économiques pour Godbout. Les jeunes partirent pour ailleurs. Cela occasionna le vieillissement de la population. Mais la tendance a maintenant changé à cause de l'effet touristique et aussi le traversier Matane—Godbout, est le principal employeur dans le village. Grâce à lui, il se créa des emplois dans la restauration et dans l’hôtellerie. Les pêcheurs viennent aussi pour la pêche aux saumons.

Godbout et la vue de haut
Mr.Éric Deschênes racontre son amour pour Bodbout et Une vue du village en parapente.

De Godbout à Pointe des Monts
Un voyage de kayak de mer sur la cote nord du Saint-Laurent on y voie le capelan arriver sur la plage et on pard. De Godbout à Pointe des Monts ou ce trouve la rencontre de l'estuaire et le golf,les vagues de plus de 2 mètres nous on fait triper.

Camping L'Estuaire est près de la traverse de Godbout-Matane et du le village de Godbout et venez voir le terrain de camping. Un bel endroit, bien aménagé, tout près de la mer et de la Rivière Godbout! Et surtout, la paix et la tranquillité. 

Il y a aussi une excursion avec Nord Nomade Aventure. À bord d'une embarcation pneumatique, découvrez les mammifères, oiseaux et organismes marins (oursins, étoiles, concombres de mer, etc.) qui peuplent les fonds nord-côtiers et admirez les traces laissées par la dernière glaciation sur les rochers. Votre guide vous mènera vers les meilleurs sites d'observation et partagera ses connaissances pour une expérience exaltante. Durée moyenne de l'excursion: 3 heures.

Le Camping L'Estuaire à Godbout
Vidéo vous montrant Godbout vue du ciel, la baie de Godbout et l'endroit ou est l'arriver du traversier puis vous voyez l'entrer du Camping L'Estuaire et son terrain.

Une vue du Camping l'Estuaire et de ses alentours.

Baie-Trinité est une municipalité du Québec située dans la MRC de Manicouagan sur la Côte-Nord. La ville est nommée en l'honneur de la Sainte Trinité. Le recensement de 2011 y dénombre 419 habitants.

Le lieu à voir à Baie-Trinité est son phare de Pointe-des-Monts est situé à 10 km de Baie-Trinité.Érigé en 1830, ce phare est classé monument historique en 1964 par le gouvernement du Québec. Aujourd'hui véritable musée patrimonial, il comporte sept étages qui illustrent des thématiques, dont la vie des huit gardiens qui y ont travaillé, la navigation et les naufrages près de Pointe-des-Monts. 


L'exposition et l'interprétation récemment renouvelées offrent maintenant aux visiteurs une expérience multisensorielle d'étage en étage, avec la technologie multimédia et un audioguide. En complément d'information, un court métrage sur la vie des gardiens et de leur famille.

Baie-Trinité
Joe Champagne nous rencontre son village Baie-Trinité et ses activités qu'il y a là et on y voie le village. 


Phare de Pointe-des-Monts, aujourd'hui inhabitée, est une localité du Québec. Elle fait partie de la municipalité de Baie-Trinité bien que située à 10 km du village. Baie-Trinité est dans la municipalité régionale de comté de Manicouagan, dans la région administrative de la Côte-Nord.

Pointe-des-Monts à la particularité d'avoir un phare classé monument historique, en plus de marquer le début du golfe du Saint-Laurent et la fin de l'estuaire du Saint-Laurent.

Pointe-des-Monts est un ancien hameau qui s'est construit près d'un phare construit en 1829 et terminé en 1830.

À une époque où la région de la Côte-Nord n'était presque pas habitée, le poste faisait office de chef-lieu. La population a culminé en 1880 pour ensuite s'éteindre progressivement.

Au xviiie siècle, la région était habitée par des chasseurs et trappeurs amérindiens.En 1826, la Maison de la Trinité planifie la construction d'un phare et John Lambly est envoyé en vue du choix du site, mais il se trompe d'emplacement et situe à environ deux kilomètres à l'est de la vraie Pointe des Monts. Malgré les protestations de William Lampson, un commerçant de fourrures qui avait des droits de chasse sur ce territoire, les travaux de construction débutent en juillet 1829, sous la surveillance de James Chillaz. Les protestation expliquerait pourquoi le phare fut construit sur un îlot plutôt que directement sur la Pointe des Monts. Le phare entra en fonction en septembre 1830.

Après la seconde Guerre mondiale, seule la famille du gardien du phare  Georges Fafard, habitait Pointe-des-Monts. En 1964, le ministère fédéral des Transports avait prévu détruire le phare, mais grâce aux derniers gardiens, Jacques et Marie-Berthe Landry, il est acquis l'année suivante par le gouvernement du Québec et finalement classé monument historique. La même année, des rénovations rendirent le phare entièrement automatisé et depuis, plus personne n'habite le village en hiver.

Pointe-des-Monts

Point-des-Monts vu avec un drome.

Le phare de Pointe-des-Monts en deux parties
Vidéo 1 : Promotion du phare de Pointe-des-Monts qui est devenue un musée.

Vidéo 2 : Érigé en 1830, ce phare est classé monument historique en 1964 par le gouvernement du Québec. Aujourd'hui véritable musée patrimonial, il comporte sept étages qui illustrent des thématiques, dont la vie des huit gardiens qui y ont travaillé, la navigation et les naufrages près de Pointe-des-Monts.

   
L'exposition et l'interprétation récemment renouvelées offrent maintenant aux visiteurs une expérience multisensorielle d'étage en étage, avec la technologie multimédia et un audioguide. En complément d'information, un court métrage sur la vie des gardiens et de leur famille.

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